La lutte contre la cybercriminalité embauche.
C’est bien d’un recrutement véritable dont-il est question ici, avec embauches à la clé.
Le service secret de renseignement britannique ( Secret Intelligence Service ) recherche actuellement de jeunes geeks majeurs. Non pas pour les mettrent en prison, mais pour les embaucher bel et bien!
Alors si vous incollable sur les réseaux sociaux ou bien rapide comme l’éclair sur Call of Duty : vous intéressez le fameux MI6, le vrai !
Plus de 100 recrutements et donc emplois sont d’ores et déjà lancés.
Il faut être agé de plus de dix-huit ans, les reçus suivront les formations espionnage et contre-espionnage au sein des services secrets britanniques, afin de lutter activement contre la cybercriminalité.
Selon le classement final de scolarité, la moitié des finalistes (les meilleurs) rejoindront James Bond au MI6, et les autres intègreront le MI5, le service de sécurité nationale.
Pour être accepté, vous n’avez pas besoin d’être sur-qualifié.
Le secrétaire d’Etat aux affaires étrangères William HAGUE, secrétaire d’État aux Affaires étrangères et du Commonwealth à signalé qu’il recherchait de jeunes geeks innovateurs de la nouvelle génération, qui assureront la sécurité du pays dans les années à venir face à des menaces aussi graves que celles que nous avons connues pendant la Seconde Guerre Mondiale.
Il est clairement mis en avant la recherche de sang jeune pour cette institution vieillissante.
Les jeunes recrues devront simplement justifier de l’obtention d’un diplôme de fin d’études secondaires, ou bien d’une expérience professionnelle dans les sciences ou les technologies pour pouvoir postuler.
Une fois leur candidature retenue, ils devront suivront alors une formation spéciale sur les réseaux de communications, et de l’ingénierie de sécurité à la « University De Montfort » à Leicester.
La France a part ailleurs annoncé le recrutement d’ici 2017 de 200 personnes à la Direction Générale de l’Armement (DGA) pour augmenter les effectifs des équipes chargées de la cyberdéfense nationale, il y a fort à parier que le mode de recrutement sera moins simple.
La France souhaite vivement rattraper son retard en ce domaine, comme le soulignait le sénateur Jean-Marie BOCKEL dans son rapport intitulé « la cyberdéfense : un enjeu mondial, une priorité nationale »,
La Grande-Bretagne et l’Allemagne ont beaucoup d’avance dans ces domaines du renseignement dans la lutte contre la cybercriminalité et la lutte antiterroriste … mondialisées, elles aussi.
L’Agence Nationale de la Sécurité des Systèmes d’information (Anssi), créée en 2009, ne compte que 230 agents contre 500 en Angleterre et 700 en Allemagne.
Si vous recherchez l’emploi de vos rêves dans le milieu de la lutte contre la cybercriminalité dans des institutions élitistes et bien c’est le moment de postuler !